Questions sur les migrations
Dernière circulaire du ministère de l'intérieur.
L'accueil des migrants de la Méditerranée : "sauvetage humanitaire" ou "recel de trafic d'êtres humains" ?
Pourquoi n'arrive-t-on pas à avoir la moindre idée des raisons pour lesquelles ces "migrants de la Méditerranée" se précipitent dans nos pays ?
Pourquoi ces migrants ne sont-ils pratiquement que des hommes, dont un quart sont des enfants (des garçons), pour moitié non accompagnés ?
Pourquoi ne voit-on que le côté humanitaire et non le côté illégal de ces trafics ? Pourquoi prenons-nous la responsabilité de ces noyades, au lieu d'en accuser les vrais responsables ?
Pourquoi, au lieu de chercher à savoir qui sont ces gens et pourquoi ils viennent, la seule question qui se pose est: faut-il les garder ou les chasser ?
Pourquoi n'arrive-t-on pas à savoir quelles lois régissent l'immigration aujourd'hui ?
Pourquoi sur le site gouv.fr trouve-t-on surtout du blabla sur les grands principes, et est-il impossible de trouver la réponse à la question très simple : A qui l'asile peut-il être accordé en France ?
Pourquoi en est-il de même pour les textes du Conseil Européen ? Dans quelle mesure les lois françaises actuelles sont-elles influencées par les décisions de l'Union Européenne ?
Pourquoi le mot "humanitaire" revient-il dans des textes officiels, sans aucune définition ?
Le seul texte précis est une circulaire qui se rapporte au traitement des cas individuels ; combien de fonctionnaires y a-t-il pour examiner au cas par cas les demandes d'accueil de centaines de milliers de personnes ? combien de temps ça prendra - d'autant plus qu'il en arrive tous les jours ?
Le gouvernement croit-il vraiment venir à bout de ce problème ?
A-t-on prévu la "remigration" ? et comment va-t-on s'y prendre ? des charters pour des centaines de milliers de personnes ?
Et pourquoi tout le monde semble-t-il considérer comme naturelle l'arrivée de tous ces gens sur notre continent ?
Enfin, question primordiale : si ces gens ont des enfants et les reconnaissent, va-t-on appliquer "le droit du sol" à ces enfants ?